Dans mes stories je viens de parler du découragement en écriture, et de la peine que les auteurs peuvent ressentir face à l'attente interminable des réponses des maisons d'édition voire à leur refus de publier leur manuscrit. J'ai notamment fait la distinction entre "ce qui dépend de nous" (écrire un bon manuscrit, écrire une bonne lettre d’intention, bien cibler les ME, avoir une mise en page propre...) et "ce qui ne dépend pas de nous" (les ME reçoivent de plus en plus de manuscrits, le papier manque, les délais sont plus longs, certains genres sont très exploités...)
J'aimerais savoir comment vous, auteurs, vous ressentiez ce découragement ? Est-ce que vous avez réussi à le vaincre ? Est-ce que ces notions sont importantes pour vous ?
Marion
Honnêtement, c'est pas de la tarte ! À chaque refus je me demande si je ne me fourvoie pas complètement et pour qui je me prends d'espérer être publiée... J'essaie juste de la laisser passer, comme les autres émotions négatives 🙂